Dans l’Essone, l’écoquartier Camille-Claudel est en cours de construction. Sa particularité ? Il deviendra à terme le plus grand écoquartier de France. Au programme, habitat basse consommation, modes de transports doux, développement durable… Zoom sur un projet exemplaire pour le logement de demain au cœur de l’immobilier en Ile-de-France.
Immobilier en Ile-de-France : le projet Camille-Claudel
Si l’écoquartier Camille Claudel obtient le titre de plus grande grand écoquartier de France, c’est grâce à une superficie de plus de 22 hectares réunissant 2 000 logements.
Pour obtenir ce label, le quartier doit respecter les trois règles d’or du développement durable : la garantie de l’équité sociale, le développement de l’activité économique et un environnement préservé à long terme.
Immobilier en Ile-de-France : la dimension écologique
La dimension écologique est naturellement prégnante dans un écoquartier. Le quartier Camille Claudel prend cette exigence à cœur en intégrant une chaufferie biomasse qui assurera 70% de la production de chauffage et d’eau chaude des habitants du secteur.
Ce système permettra de supprimer l’émission de 2 400 tonnes de CO2 par année représentant le CO2 émis par 1 180 voitures.
La chaufferie biomasse fonctionnera au bois issu des productions des environs mais également des chutes récupérées dans les parcs et les forêts de la ville et ses voisines.
Toujours dans cet axe d’économie d’énergie et de développement durable, les eaux de pluies seront récupérées et utilisées pour l’arrosage des espaces verts de l’écoquartier.
Immobilier en Ile-de-France : la dimension mixte de l’écoquartier
Outre les économies d’énergie inhérentes au titre d’« écoquartier », le label appelle également une importante dimension de mixité. Engagement social, le quartier Camille Claudel intègre 40% de logements sociaux et 5 000 appartements sont réservés aux étudiants.
L’écoquartier Camille Claudel offre également la possibilité aux habitants d’utiliser pistes cyclables, piétonnes ainsi que les transports en commun pour limiter l’utilisation des voitures.